Notre lettre 1214 publiée le 27 mai 2025

COMMISSAIRE JORDY,

L'ÉVÊQUE QUI N'ÉCOUTE PERSONNE

Certains s'étonnent de la méfiance, sinon de la fermeture d'esprit, que déploie Mgr Jordy sur le siège de Tours. Pourtant, dans son précédent siège, à Saint-Claude, comme dans ses fonctions au séminaire de Strasbourg, il n'avait guère déployé de qualités d'écoute, et dans les deux cas avait soigneusement laissé le problème des abus sexuels à ses successeurs. L'ignorance et le mépris, dont il fait preuve à l'égard de ses propres fidèles de Tours qui vont aux messes tridentines, il l'a eu dans ses affectations précédentes vis à vis d'autres infortunés fidèles, prêtres ou séminaristes.

L'on comprend mieux cela dit quand on apprend que Mgr Jordy a préféré la vocation à une carrière de commissaire de police – en devenant évêque, il a décidé visiblement de ne pas choisir, sans avoir non plus la pression de la hiérarchie et de la population. Il peut ainsi avoir un taux de résolution qui frise le zéro statistique, un taux de pratique en chute libre, un bilan pastoral inexistant, mais qu'importe ? Il est mitré, et aux fidèles de le supporter jusqu'à qu'il soit atteint par la limite d'âge... à moins que comme pour son collègue de Poitiers, on ne finisse par le transférer dans un diocèse plus petit où il fera moins de dégâts.

Presque pas d'expérience pastorale

Né le 20 janvier 1961 à Perpignan, ordonné le 28 juin 1992 pour le diocèse de Strasbourg, ordonné évêque auxiliaire de Strasbourg le 11 novembre 2008 – bien après son passage par l'Emmanuel en 1988-1995, il a été directeur spirituel, puis supérieur du séminaire de Strasbourg en 2000-2008 ; il n'a eu vraiment qu'une seule expérience pastorale, en aumônerie à Altkirch juste après son ordination (1993-96), avant que ce prêtre peu doué pour la vie paroissiale se retrouve au séminaire de Strasbourg, dont il est directeur (1997-2000), à peine cinq ans après son ordination, puis supérieur (2000-2008).

Quand il est nommé auxiliaire en 2007 pour seconder Mgr Grallet, ça se passe encore mal – comme le relève Golias bien des années plus tard, «  l’épiscopat n’arrange pas le caractère épouvantable

et égocentrique de Vincent Jordy ». Du coup, il est envoyé se rafraîchir les idées, dans le diocèse de Saint-Claude que vient de quitter le dominicain Mgr Legrez, nommé à Albi.

Superflic à Saint-Claude : il flique les diacres et élimine ceux qui sont trop engagés

Et à Lons-le-Saunier, où vivent les évêques successifs de Saint-Claude depuis 1930, pas de raison que l'air frais lui fasse du bien. D'ailleurs, en voulant recentrer, il s'enferme dans un isolement splendide – et coûteux, comme le relève Golias encore : « il n’écoute ni son clergé ni surtout les laïcs. De quoi ces gueux se mêlent-ils ? Ainsi décide-t-il de déménager avec sa cour à Poligny dont la situation géographique, en effet, est centrale… mais éloignée de tout (à 90 kms et 1h30 en voiture de Saint-Claude, par exemple). L’évêque dans le Jura veut « rationaliser : l’Eglise est plus petite », et qu’importe si cela ne plaît pas, c’est lui le chef ».

De fait, si la nouvelle maison diocésaine de Poligny fait rêver Mgr Roland qui n'en a pas les moyens, l'acquisition de Poligny auprès de la congrégation du Saint-Esprit dont c'était la maison de retraite coûte 960.000 euros – hors prix des travaux, tandis que le diocèse efface sa présence à Lons-le-Saunier, où l'évêché et le grand séminaire de Montciel sont vendus ; à l'époque, la vente du grand séminaire de Montciel est particulièrement contestée, une association se crée même.

L'évêché fait répondre dans la presse locale que Montciel est déficitaire de 100.000 euros par an, le diocèse a un déficit structurel d'un demi-million d'euros par an et que la nouvelle maison, au milieu de nulle part, coûtera moins cher que les installations de Lons-le-Saunier nettement plus accessibles – le chef-lieu départemental étant situé sur l'axe routier et ferroviaire principal entre Belfort et Lyon par Bourg et Besançon.

«  Vincent Jordy est un « évêque négrier », selon l’expression forgée par le théologien Christian Delahaye, c’est-à-dire qu’il recourt sans commune mesure à des « prêtres venus d’ailleurs », comme le dit la CEF dans un bel euphémisme pour parler des prêtres d’Afrique, d’Asie, de Pologne… Le problème, c’est qu’il ne sait pas les accueillir : les chrétiens sont invités à se décarcasser sans que l’évêque dans le Jura lève le petit doigt. Il flique les candidats au diaconat permanent, éliminant les plus engagés socialement, il aura à ce titre un comportement lamentable avec un candidat et son épouse, invités à dîner et décommandés le jour même »…

Bien des années plus tard, Mgr Jordy flique désormais les homélies, en attendant qu'il braque des caméras sur chaque curé de son diocèse ? Il est peut-être trop tard pour qu'il change, mais pas encore pour arrêter le massacre en Touraine, en le renvoyant enseigner quelque part...

La Bible ne lui suffit plus : en 2014, une homélie inspirée par Stromae (?!)

Mais enseigner quoi, au juste ? Comme la Bible ne lui suffit pas, pour l'Ascension 2014 il s'inspire du titre « Papaoutai » du chanteur belge Stromae – l'homélie est toujours sur le site de la CEF, comme un vain trophée, un titre de fierté peut-être ?

« Il est jeune, Belge, s’appelle Stromae et chante. L’une de ses chansons, Papaoutai, dit la souffrance de l’absence d’un père : Papa, où tu es ? Elle résonne alors que le printemps est là. La météo est bonne [...]. D’un tombeau Jésus va jaillir vainqueur de la mort. Plus encore, Il inaugure une vie nouvelle pour qui L’accueille. Les saints, les amis de Dieu, témoignent, à travers les siècles, que cela est vrai [...] Papaoutai ? Au ciel et Il nous prépare une place. Mais comment suivre

Jésus ? Nous pourrions Lui dire, regardant le ciel où Il nous précède : ‘‘Mais t’es haut, trop haut pour nous.’’ Ne nous trompons pas : Il ouvre le chemin ; c’est aussi Lui qui nous élève… »

Mgr Jordy à Tours : limite d'incompétence enfoncée ?

A sa nomination en Touraine, même Golias trouvait qu'il y avait comme un problème, à lire le trombinoscope 2020-21 : «  Dans la presse jurassienne, en 2019, Vincent Jordy apparaissait les cheveux totalement blancs, le visage amaigri… Et il avait toujours du mal à sourire. D’un point de vue général, l’alors évêque de Saint-Claude ne présentait aucun changement : gestuelle exacerbée, voix mielleuse, pose affectée… Et des propos qui donnaient vite la migraine, des homélies d’une platitude confondante, aspergées d’eau bénite et sans intérêt. A moins de 60 ans, cet homme qui n’aurait jamais dû devenir évêque semblait être au bout de ses capacités dans le Jura, comme tari, sans plus d’énergie. Et voilà qu’en novembre 2019, pour succéder à l’archevêque cistercien de Tours, Mgr Aubertin, atteint par la limite d’âge, Rome le catapultait en Touraine ! De quoi rester abasourdi. Si ce n’est pas le signe que l’Eglise en France a un problème, on ne sait pas ce qu’il faut comprendre ».

En 2022-23 même réaction quand Mgr Jordy intègre le triumvirat de la CEF : «  rien n’a bougé ici depuis le dernier Trombinoscope. Vincent Jordy poursuit son improbable ascension en intégrant le triumvirat de la CEF. Ce qui justifie une pareille ascension nous échappe complètement, tellement l’homme est arrogant. et pas spécialement compétent sur grand-chose ». Son portrait dans le Trombiniscoppe ne donne pas plus d'espoir : « La nonciature est allée chercher sans doute l’évêque le plus réfrigérant de France, si froid d’ailleurs qu’on a parfois le sentiment qu’il se baigne au quotidien dans l’azote liquide. pieux, doucereux, cérémonieux, l’archevêque de Tours n’a pas inventé la rillette mais le voilà, les mains dans le pâté, dans une des plus belles régions de France ».

L'on comprend là encore beaucoup mieux que malgré sa campagne des mois durant, les évêques français lui ont préféré – et à une nette majorité – Mgr Aveline pour succéder à Mgr de Moulins-Beaufort à la tête de la CEF.

Le commissaire évêque aura un lot de consolation : un deuxième mandat de trois ans comme vice-président de la CEF. D'ici là, il aura soin de trier sur le volet son « conseil diocésain de la mission », énième trouvaille bureaucratique pour masquer l'anémie du bilan réel : «  sinon, il a lancé un conseil diocésain de la mission : une soixantaine de personnes issues de paroisses, de mouvements, de communautés, se retrouvent chaque trimestre pour réfléchir sur la conversion missionnaire du diocèse. Evidemment, Jordy a choisi minutieusement qui fera partie de ce conseil, le but étant de montrer que l’on fait « comme à Rome ». Il ne manquerait plus que l‘on bosse vraiment ». Il aurait pu séduire un Parolin, papabile lui aussi sans expérience pastorale, mais probablement pas le nouveau Pape, qui ne semble guère goûter la dérive administrative de l'Eglise, sous les auspice du principe de Peter. 

La synodalité à Tours : Mgr Jordy à l'écoute, mais pas du nord du diocèse, ni des fidèles de Saint-Pierre Ville

En mai 2022 Mgr Jordy parcourt son diocèse, dans sept réunions censées amorcer un processus synodal dans le diocèse de Tours : à  Tours centre donc le 11 mai, Tours sud à Saint-Jean de Montjoyeux le 12, Loches le 13 mai à Saint-Antoine, Chinon le 19 mai à Saint-Etienne, Tours-nord le 24 mai à Rochecorbon, Bourgueil le 1er juin et Amboise le 2 juin. « On remarquera », relève alors Paix Liturgique, « que le nord du diocèse de Tours, lui, n'a pas le droit aux attentions de l'évêque, alors qu'il compte au moins deux localités importantes, Château-Renault et Château-la-Vallière, à 25 et 40 km de la réunion la plus proche (Rochecorbon), soit 50 et 80 km aller-retour respectivement) et que le renchérissement du coût du carburant impose aux ruraux de limiter leurs déplacements non professionnels ».

Mais surtout, à la réunion de Tours-centre où affluent les fidèles de Saint-Pierre Ville, désireux de demander pourquoi le diocèse bloque-t-il mordicus l'arrivée d'un second curé de la FSSP pour la communauté qui a beaucoup grossi ces dernières années, Mgr Jordy n'a guère voulu écouter les voix discordantes, surtout si elles sont jeunes : « les paroissiens de Saint-Pierre Ville constituaient la moitié de l’assistance, nettement plus jeune que l’autre – où les cheveux blancs dominaient”. Cependant, le curé de la cathédrale triait les petits papiers sur lesquels on pouvait écrire nos questions, et pas un de ceux qui était mis par les fidèles de Saint-Pierre Ville n’a été tiré. L'évêque s'est contenté de répondre aux questions les plus consensuelles et celles qui intéressaient les cheveux blancs, autrement dit l'écologie, etc ». 

Non seulement Mgr Jordy n'a pas pris le temps de répondre aux fidèles de la messe traditionnelle, mais à la fin de la réunion il a pris la fuite avec son vicaire général, pour ne pas avoir à leur répondre : « Quand il est sorti, accompagné du vicaire général, il a vu le groupe des fidèles de Saint-Pierre Ville qui les attendait devant l’entrée pour discuter avec, ils ont pris leurs jambes à leur cou et ont couru jusqu’à leur voiture pour éviter de parler avec leurs fidèles. Sur le trajet de sa fuite, il a été attrapé au vol par une famille, très sympathique au demeurant, qui l'a invité à dîner et à bénir la maison – il a accepté, mais sans prendre son agenda ni leur demander de rappeler son secrétariat – à ce moment, il donnait l'impression qu'il leur aurait cédé la cathédrale à l'euro symbolique pour couvrir sa fuite ».

Le commissaire Jordy bat des records dans le (non)-dialogue, et au pas de course encore. Ses confrères évêques l'ont échappé belle – et lui avec. Se serait-il astreint à du jogging pour mettre à profit le dédale de l'Accueil Notre-Dame, ses deux chapelles, ses six étages – dont deux rez-de-chaussée à cinq étages d'intervalle, de ses nombreux ascenseurs et cages d'escaliers, afin d'échapper aux questions par trop pointues de tel ou autre confère ? Certes, il aurait pu illustrer au mieux l'implication de la CEF dans la pastorale du sport, quitte à sombrer dans le ridicule.

Strasbourg, Saint-Claude : le problème des abus soigneusement laissé à ses successeurs ?

Nous sommes fin novembre 2024. Quelques mois avant le congrès de la CEF qui pourrait le porter à la présidence, Mgr Jordy fait une conférence de presse à Tours avec les victimes de l'abbé Tartu et le Tribunal Pénal Canonique National dont c'est la première « grande » décision dans une affaire d'abus aux multiples victimes.

Passé par les paroisses de Loches (1971-81), Tours (1981-86), Amboise (1986-87) et de nouveau à Tours (de 1997 à sa retraite), l'abbé Tartu a emmené partout la Chorale des Petits Chanteurs de Touraine qu'il dirigeait, où au moins 9 victimes d'abus sont recensées par le collectif Voix Libérées... Le premier signalement date de 2006, ce qui n'empêche pas le prédécesseur de Mgr Jordy, Mgr Aubertin, d'ignorer le problème avec superbe jusqu'à son départ du diocèse en 2019, laissant son successeur gérer l'éclatement de l'affaire, deux plaintes et l'exaspération un peu logique des victimes.

Mgr Jordy reçoit l'une d'elles en 2022, envoie le dossier à Rome, mais en août 2024 on apprend aussi grâce à la manifestation d'un collectif de victimes d'abus que l'abbé Tartu a été exfiltré du diocèse de Tours dans celui, voisin, de Blois, où il est accueilli dans une des maisons de retraite. In fine, après cinq ans de nouvelles lenteurs, les plaintes sont classées sans suite pour prescription par la justice civile, et l'abbé Tartu est condamné par le TPCN – dont c'est l'occasion d'officialiser son existence et de se faire connaître – à une interdiction « perpétuelle d'exercer tout ministère d'accompagnement spirituel de personnes mineures, célébration publique de tout acte liturgique, tout sacrement et sacremental ». A près de 90 ans, pas certain que l'abbé Tartu soit encore capable de célébrer, ni de faire des accompagnements spirituels du reste, mais pour Mgr Jordy c'est aussi l'occasion d'affirmer que contrairement à d'autres évêques, lui porte le combat contre les abus.

Cependant, l'activisme de Mgr Jordy sur l'affaire Tartu – et elle seule – surprend quelque peu. Comme le relève Golias en 2024-25 au sujet de son successeur Mgr Garin à Saint-Claude, « dans les deux premières années de son mandat, Jean-Luc Garin a reçu entre 20 et 25 victimes. Il avoue ne pas avoir été suffisamment préparé à affronter cette situation ». Doit-on constater que s'il a reçu ces victimes, c'est que son prédécesseur ne l'avait pas fait, et ne s'était pas non plus occupé des dossiers d'abus où elles figuraient ?

En partant de Saint-Claude pour Tours, au détour d'une interview dans la Voix Jurassienne, Mgr Jordy apporte une partie de la réponse le 11 mars 2019 – ce qu'il a traité n'étaient (presque) que des affaires anciennes, et il l'a fait sur le tard : « je suis évêque de Saint-Claude depuis 7 ans. Il y a deux ans, j’ai activé une cellule de veille et j’ai été contacté par des personnes. Il y a eu six ou sept cas qui m’ont ainsi été signalés, mais c’était des histoires très anciennes et la plupart des prêtres mis en cause étaient décédés. Trois personnes au moins avaient été abusées dans leur enfance, et me faisaient part de souffrances encore très présentes. Une situation concernait un prêtre encore en vie, j’ai fait ce que je devais faire en alertant la justice, mais il est décédé peu de temps après ». Reste à savoir comment son successeur a pu trouver le temps de recevoir encore 20 à 25 victimes, et pourquoi Mgr Jordy ne s'en est pas occupé en son temps ?

Le commissaire Jordy face aux abus : aveuglement à tous les étages ?

Et puis à la remise du rapport de la CIASE, il aura des propos qui montrent un certain aveuglement : «  Il faut aussi souligner la forte résolution des évêques de France qui ont depuis près de 20 ans travaillé et mis en place des dispositifs pour faire de l’Église une maison plus sûre pour tous en prenant de nombreuses mesures et plusieurs engagements ».

Certes, Mgr Jordy défend l'institution, mais au mépris de la vérité, comme le montrent quelques mois plus tard les affaires Santier et Ricard qui éclatent – et toutes celles qui concernent des évêques qui, encore en poste ou émérites, auront ignoré les victimes, refusé de les recevoir, refusé de transmettre les signalements à la justice, fait trainer les procès canoniques etc. Le 28 mars 2025, à quelques jours de la CEF censée mettre Mgr Jordy à la tête des évêques de France – il n'en sera finalement rien – France Inter en liste 18 qui, face aux abus, n'ont pas fait leur devoir – et cette liste peut encore être complétée.

Dans le communiqué du diocèse de Tours sorti pour le rapport de la CIASE, en octobre 2021, il semble presque regretter alors que tout cela soit rendu public : «  Nous pensons aux fidèles qui découvrent pour beaucoup cette dimension enfouie de la vie de notre Église. Nous pensons aussi aux prêtres blessés de voir leur ministère abîmé ». Quant à qualifier la crise majeure des abus de « dimension enfouie » de la vie de l'Eglise, l'expression est un peu faible, et sonne carrément faux. Mais dans la Voix Jurassienne en 2019, pour résumer l'aveuglement passé, il a fait pis encore : « longtemps, les prêtres ont eu la méconnaissance de ces choses-là. Quand quelqu’un disait ‘il y a un problème’, on pensait le fait anecdotique, car personne n’osait imaginer qu’un confrère pouvait faire ça ».

Cela dit, la « dimension enfouie » concerne plutôt son passage comme directeur du séminaire, Comme le relève encore le Trombinoscope des évêques en 2025, Mgr Jordy n'aura « n’aura aucun commentaire lorsque la CIASE se déplacera au Grand séminaire de Strasbourg où un ancien séminariste fait état en public d’abus subis au séminaire et que d’autres témoignages évoqueront un autre candidat à la prêtrise, lui aussi victime d’abus et s’étant suicidé à cause de cela... ». Pourtant des séminaristes s'étaient signalés au milieu des années 2000, à la fois pour des abus au séminaire et d'autres que certains avaient subi avant d'entrer au séminaire, notamment dans le sinistre noviciat des Béatitudes à Autrey, dans les Vosges. Silence radio à l'époque... et jusqu'à maintenant. Décidément, il n'y a qu'une pastorale que Mgr Jordy maîtrise pour le mieux, celle de l'omerta. Pauvres tourangeaux !

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